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Liège, Belgium
Né à Bruxelles dans une famille d'origine grecque, turque, albanaise et bulgare. Etudes secondaires gréco-latines. Licence en Histoire de l'art, Archéologie et Musicologie de l'Université de Liège. Lauréat de la Fondation belge de la Vocation. Ancien journaliste à La Libre Belgique et La Gazette de Liège. Actuellement Chargé de mission développement et médias à l'Orchestre Philharmonique Royal de Liège. Directeur artistique-adjoint du Festival des Nuits de Septembre. Enseigne l'Histoire sociale de la musique aux Alumni de l'Université de Liège.

mardi 24 juin 2008

Les Chevaliers de la prospérité

Depuis presque 20 ans, Eugène Gurkin, un nettoyeur de toilettes à New York, rêve d'ouvrir son propre bar dans le Queens, mais les quelques dollars de fond qu'il a en poche n'inspirent aucune confiance aux sociétés de crédit. Un jour, il voit un jour un reportage sur Mick Jagger, installé depuis peu dans un luxueux appartement de la 5e Avenue, et se mit en tête de le cambrioler. Gurkin va ainsi former avec cinq autres paumés de la ville la plus sympathique des organisations criminelles : les Chevaliers de la Prospérité, sorte de Robin des bois du XXIe siècle. Ensemble, ils tenteront de dérober la clé de l'appartement de la rock-star (devenue pour le coup l'incarnation de toutes les inégalités que connaît l'Amérique), de trouver le code d'accès de la porte d'entrée et de déjouer l'attention des gardes avec un manque de professionnalisme à la base des situations les plus loufoques.

Rassemblée en 13 épisodes, la série The Knights of Prosperity (2007), diffusée dernièrement sur Be est signée Rod Burnett et coproduite par le chanteur des Stones himself qui y interprète - admirablement, même si c'est au second degré - son propre personnage. Bien qu'ils se la jouent très "anti-héros-qui-partent-en-guerre-contre-le-méchant-système-capitaliste", les Chevaliers ne manquent pas de répliques triviales du plus beau comique. Les situations invraisemblables (à la limite de l'absurde) dans lesquelles ils s'aventurent permettent à cette série décalée de trancher avec la lourdeur un peu inepte des comédies commerciales américaines.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

salut !

bon moi je me suis bien marée avec eux !!
dommage que ce soit fini, c'était sans prétention , c'est vrai mais bine délirant et effectiviment très dépaysant avec les séries habituelles de super héros .